Quelle déception. J'ai acheté l\'Huile N° 3, persuadé, au vu de l'étiquette et de l'environnement du magasin, que j'achetais un produit local. Manque de chance, en lisant les toutes petites lignes sur le bidon, j'ai remarqué que cette Huile N° 3 n'était qu'un assemblage de différentes huiles européennes. Au final, j'ai acheté un assemblage d'huile, comme le font tous les distributeurs . Après avoir envoyé un mail, la réponse m'a laissé sans voix : en 1956, les Oliviers de la Drôme ont gelé, et Monsieur Richard est parti en Europe chercher des huiles pour continuer à approvisionner les clients. Je ne reproche pas à L'huilerie Richard de produire une huile en provenance de différents pays de la communauté européenne, en revanche, l' habillage des bidons et l'atmosphère des boutiques font croire que l'on achète du local, alors que le local provient de différents pays du bassin méditerranéen